Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
Ce récit est la suite de : Orane et Marie
il y a 4 ans
Orane & Marie - 3
Depuis que je te connais Marie plus rien ne m'étonne vraiment. Je vis sur un petit nuage. Je suis prête à tout accepter venant de toi. Personne dans mon entourage proche, même pas ma belle et tendre Muriel n'est au courant de ma liaison avec toi. J'ai changé disent certains. Certains ont remarqué des modifications dans mon comportement, dans ma façon de m'habiller. "Caro change, Caro est plus féminine, ou plus sexy...". Ces derniers ont tord ou ne savent ce que c'est d'être habillé sexy. Pour toi, je porte les tenues les plus indécentes, les plus provocantes.
Tous les jeudis, nous avons rendez-vous au bar la "Marie Galante" qui est à dix minutes de la fac à pied. À l'angle des Capucines et des bonnes gens. C'est un piano-bar en sous-sol. Il faut habiter le quartier ou faire partie des habitués pour le trouver. À peine êtes-vous entré, que vous descendez dans une cave, un escalier en bois assez raide. Là surprise ! Vous avez l'impression d'être à bord d'un vieux bateau du début siècle. Toute la décoration est dans le style cabine de navire en acajou et cuivre. Pour créer l'illusion, dans de faux hublots des photos de rivages lointains ont été collés. Par contre, cela fait un peu kitch.
Dans un coin de la salle, sur une petite estrade, il y a un piano droit. Des instruments de marine, des cartes et des gravures de vieux gréements ont été accrochés sur les lambris. Dans l'entrée, un gros bonhomme en tenue de plongée avec un énorme casque en cuivre sur la tête semble monter la garder. Les habitués l'ont baptisé Némo. La première fois que sommes venus ensemble, en entrant tu m'as dit : "je te présente Némo" Et comme une idiote, j'ai dis bonjour monsieur... Tu as éclaté de rire. Sur le moment je n'ai pas compris pourquoi tu riais. Plus tard tu m'as expliqué que c'était un mannequin. Je me suis sentie vraiment bête. Tu as dû le voir car tu as posé un baiser sur la joue et tu as murmuré à mon oreille "vous me plaisez charmante idiote".
En général, j'arrive la première. Depuis quelques semaines maintenant le rituel est immuable. Dans la journée, il y a peu de monde, quelques habitués et des clients de passage. Moi je m'installe toujours au fond à droite, sur la grande banquette en bois recouvert de coussin bleu marine. La serveuse commence à me connaître. Je crois qu'elle s'appelle Chloé et le barman Serge. En passant devant le bar, j'ai commandé un jus de tomate. Je n'aime le jus de tomate. Ici tout le personnel est toujours habillé en marin. Chloé, la serveuse doit avoir à peu près mon âge porte un pantalon corsaire blanc et un pull rayé court, une taille trop petite qui moule délicieusement ses formes encore a d o l e s c e n t es et laisse voir son nombril.
C'était une petite blondinette bouclée avec des cheveux mi-longs. Je dis c'était car depuis peu Chloé a le crâne presque rasé qu'elle cache sous un bonnet. Cela lui donne un côté androgyne très mignon qui lui va bien. Elle a changé... elle aussi. J'ai remarqué aussi qu'elle ne mettait plus de soutien-gorge pendant son service, elle n'a pas beaucoup de poitrine, elle peut se le permette. La petite s'émancipe, c'est bien. Je m'étonnerais pas qu'elle soit amoureuse, elle a l'air rêveuse... Chloé doit être comme moi, du genre amoureuse soumise. En tous cas son petit copain ou de sa copine, qui sait, a des idées que ne renierait pas Marie.
Je m'installe dans mon coin et sort un livre de mon sac et fait semblant de lire quelques minutes. Dans cette partie de la salle pas grand monde : un homme lit Libé en buvant une bière, au fond un couple d'amoureux se bécote : Trente - quarante ans maxi. Sûrement adultère. La femme semble inquiète, sur le qui-vive. Ils parlent à voix basses. D'où je suis, je ne peux pas les entendre, mais je peux voir la main l'homme sous la jupe de la jeune femme qui se laisse faire et se tortille sur sa banquette. C'est amusant.
L'arrivée de Chloé m'apportant mon jus de tomate me sort de mon voyeurisme. Tiens, le nombril de Chloé est orné maintenant d'un piercing. Effet de mode ou signe de soumission ? Est-elle soumise, elle aussi ? J'aimerais lui poser des tas de questions : pourquoi, où, comment, est-ce que cela fait mal ?
La petite revient avec ma monnaie et déchire mon ticket de caisse. Je la complimente sur sa nouvelle coupe.
-
Vous aimez, me demande t-elle incrédule.
-
Oui cela vous va bien
Pour mieux me montrer le résultat, Chloé enlève son bonnet et dévoile son crâne presque chauve et passe machinalement ses doigts dans ses petits cheveux décolorés en bataille. C'est pour faire plaisir à son petit ami. Il craque sur les filles aux cheveux très courts, voire totalement rasés. Pour ce qui d'être rasée totalement, elle hésite encore. Peut-être pour la durée des vacances, comme cela ils auront le temps de repousser pour la rentrée d'octobre.
- Faites-le, je suis sûre que cela vous ira bien.
Rassurée, Chloé s'en retourne à son comptoir le bonnet à la main. Je l'envie, elle a plus de courage que moi. Je n'oserais jamais faire une chose pareille. Je bois une gorgée et je pars aux toilettes. Je déteste le jus de tomate encore une règle que tu m'imposes Marie.
Là s'accomplit la métamorphose. De Caro, Caroline ou Coco comme on voudra... je deviens Orane la fille soumise de Marie. La mue s'accomplit très simplement. Enfermée dans les toilettes, je me déshabille entièrement. J'en profite pour vider ma vessie. Mon abricot est nu, comme quand j'étais petite fille. Il ne reste plus de trace de ma pilosité de brune.
Dans les W-C femme, il y a une tablette et un petit miroir, c'est bien pratique. J'en profite pour refaire mon maquillage. D'abord je fais un chignon très lâche avec mes cheveux longs et raides. Tu trouves que cette coiffure me va bien et me vieillit un peu. Comme ça, je fais moins ado, malgré mes dix neuf ans. Je sors ma trousse de maquillage (un cadeau de toi) Tout y passe : blush, crayon pour les yeux, fard à paupières, rouge à lèvres, rimel, contour des lèvres. Un peu de rouge sur les joues.
Ah j'allais oublier le principal : Autrement, tu me tues. Farder le bout de mes seins avec mon bâton de rouge. Ce n'est pas facile. Un sein dans une main, le rouge dans l'autre, puis souligner les contours des aréoles avec un trait de crayon plus sombre. Le gauche ça va, par contre le droit c'est plus dur. Ça y est ! Et de deux. Le résultat dans le miroir n'est pas encore parfait, mais je m'améliore.
Au début je trouvais saugrenu de se maquiller le bout des seins, puis peu à peu je trouve cela agréable, même excitant. Mes mamelons trahissent mon trouble et deviennent longs et durs. Tu aimes utiliser des mots vulgaires pour désigner certaines parties de mon corps, pour me provoquer, me choquer. Tu dis souvent que tu aimes mes grosses mamelles. Il faut dire qu'à 19 ans j'affiche un beau 90C. C'est vrai au début, j'avais honte. Cela me choquait que tu parles ainsi de mes seins. Maintenant cela me paraît normal presque troublant. En quelques semaines, entre tes mains, je ne suis devenue une vraie salope, une jeune femelle juste bonne à être dresséee et à baiser... comme tu aimes à me le rappeler. Et le pire c'est que c'est vrai et j'aime ça. Ma honte du début a laissé place au plaisir. Pour toi demain je serai une vraie putain. Tu jubiles quand j'emploie spontanément des mots grossiers. Pour toi, j'ai prohibé le mot "pudeur" de ma bouche. Dans mon comportement c'est plus difficile.
Mes nichons, tu les connais par cœur. Deux poires un peu lourdes, deux masses de chair oblongues et fermes. Avant de te connaître j'en avais honte, une vraie infirmité. Maintenant que je sais qu'ils te plaisent, j'en suis assez fière et je n'hésite plus à les mettre en valeur pour toi et avec toi : soutien gorge à balconnet, décolleté audacieux. Tu trouves que j'ai les tétons arrogants et prétentieux parce qu'ils pointent le nez vers le ciel. Tu m'as dit que dans un an ils feront moins les fières... Je n'ai pas compris ce que tu voulais dire...
En tous cas, avec toi j'ai découvert que mes nichons pouvaient me procurer beaucoup de plaisir. Tu adores les travailler comme tu dis. Les m a l t r a i t e r, les déformer : pinces, poids, aspiration des mamelons, bondage très serrés sans oublier les coups de cravache... tout y passe. Deux jours après j'ai encore mal, tu me fais pleurer et je te maudis, je te déteste. Mais je reviendrais la semaine prochaine. Il est déjà arrivé que je garde des marques pendant plusieurs jours et j'en suis assez fière. Tu m'as proposée de les travailler avec des aiguilles : j'avoue que cela me fait un peu peur, mais en même temps cela m'excite terriblement. Tu m'as montrée des photos de nanas à poil avec le bout des nichons percés de gros anneaux ainsi que la chattoun, les grandes lèvres et le clito. Cela fait très femelle... et je sais que cela te plairait beaucoup mais je me sens pas encore prête pour ça...
Tes seins sont beaux aussi : plus lourds, plus larges, mais encore extrêmement fermes... Quand nous sommes nues l'une contre je sens tes pointes me font presque mal tellement tes mamelons sont durs... On dirait deux gros rubis posés sur deux beaux melons. Tu adores les mettre en valeur dans des décolletés provocants, des soutiens-gorge pigeonnant qui ne cachent plus rien. Tu en joues avec les hommes... et les femmes comme d'autres jouent avec leurs jambes.
Je prends mes seins en coupe dans mes mains et me regarde dans la glace. Une vraie p'tite salope... Une fois de plus la transformation s'est accomplie. Pas grand chose en fait sépare une vraie jeune fille, une pauvre puce d'une vraie pute : un peu de peinture et quelques coups de crayon. Et le regard des autres, le regard des femmes et surtout des hommes sera tout autre. Quand je suis avec toi, le regard des autres je l'ignore. Il glisse sur moi, rien ne peut me toucher ni leurs sarcasmes, ni leurs insultes.
Ce n'est plus moi que je vois dans le miroir mais autre fille. On me donnerait peut être vingt deux, vingt trois ans. Le genre de fille que les hommes aiment, la bouche gourmande et l'œil cajoleur avec l'innocence de l'a d o l e s c e n c e . C'est vrai que je suis pas mal comme ça. Une goutte de parfum derrière les oreilles. Ça y est, je suis presque prête.
Je me rhabille, sans remettre mon soutien-gorge ni ma culotte que je garde dans mon sac à main. À partir de cet instant, je suis prête. Comme Némo, je remonte à la surface. Mais je sais déjà que tu seras plus exigeante que la dernière fois.
Orane & Marie - 4
Les nouvelles chaussures que tu m'as achetées commencent à me faire souffrir. Je n'ai pas encore l'habitude de porter en ville des talons aussi hauts. Je me suis tordu la cheville une demi-douzaine de fois. Le bruit de nos pas résonne dans le hall de l'immeuble. Avec ta clef, tu ouvres la porte de l'appartement, j'aimerais que tu m'embrasses, que tu me prennes là dans l'entrée. Mais toi, sans la moindre attention pour moi tu me tends ton manteau et ton sac à main pour que je les range dans le placard. Puis, tu vas au salon, je t'entends mettre de la musique. Je sais, c'est le protocole... Protocole que j'ai accepté de respecter mais j'ai toujours du mal à m'y faire.
Dans le protocole, chacune va de son côté comme si l'autre n'existait pas. Moi, je vais en face dans le petit cabinet de toilette pour me changer. J'ôte mes sandales. Avec la chaleur et la cambrure, mes pieds sont gonflés et les lanières des chaussures laissent des marques sur ma peau. J'enlève mon Jeans qui me colle. J'avais fini par oublier que je n'avais plus de culotte. Le fond de l'entrejambe est un peu souillé : t'en pis. J'aimerais faire un brin de toilette, me rafraîchir, mais tu me l'interdis formellement. Tu me veux dans mon jus, comme tu dis. Cela me plait pas trop, mais c'est toi qui décides !
Mon chemisier rejoint mon pantalon sur le tabouret. Mes seins dressent le bout du nez, comme deux jeunes chiens aux aguets. Ils ont senti que cela aller être leur fête. Je les prends dans les paumes de mes mains, les caresse. Humm, c'est bon. Depuis peu, j'apprécie de me caresser, pincer mes mamelons assez forts jusqu'à ce que la douleur devienne insupportable. Là aussi j'ai fait des progrès. Une fois libérés, ils deviennent rapidement gros et durs comme des groseilles juteuses.
À plusieurs reprises, le sujet est revenu dans nos conversations. À titre de gage et en signe de bonne volonté de ma part, tu voulais savoir si j'accepterais un jour de plus mettre de slip et de soutif qui sont pour toi les symboles d'une femme libre et qui n'ont par conséquent, n'ont plus raison d'être sur moi. En souriant, je t'ai demandé uniquement pendant le jeu, toi tu m'as répondu très sérieusement : " Non, je le veux tout le temps, 24 heures sur 24, ma chérie, 7 jours sur 7 ! ". Même pour te plaire, j'avais beau retourner le problème dans tous les sens, de nos jours, c'est impossible de vivre et travailler le cul à l'air en permanence. La fille qui ferait ça, se ferait vite remarquer et traiter de putain. C'est du fantasme du pur et simple.
Deux mois plus tard, je vis ton fantasme qui devient presque mon quotidien. Pour les slips, c'est chose pratiquement faite, sauf quand j'ai mes ragnagnas ! Là cela va être difficile. Du Tanga en dentelle, je suis passée rapidement au string classique puis l'ultra minimaliste à ficelle. Me balader cul nu me dérange plus vraiment, même avec des jupes ultra courtes que tu aimes me faire porter. C'est qu'une question d'habitude. Surtout en ce moment qu'il fait beau et chaud. Je dois avouer que c'est même très agréable. J'invite celles qui l'ont jamais fait d'essayer au moins une fois dans leur vie, du levé au couché... c'est divin. Même pour moi qui me considère comme une vraie soumise, je me sens terriblement libre sans dessous, dessous. Alors abat les culottes !
Mais le soutif, c'est autre chose. Là, difficile de le cacher : tu en portes ou portes pas, dans tous les cas ça se voit. Alors, j'hésite encore même moi, dont la pudeur s'effrite un peu plus à cause de toi Marie. Comme tu l'as vivement conseillé et toujours pour te plaire je fais l'effort d'en porter de moins en moins sauf bien sûr pour aller à la fac et dans de rares circonstances comme pour aller chez mes parents. C'est idiot, mais j'ai du mal à me balader dans la rue ou aller en cours les seins libres. J'ai l'impression d'attirer sur ma poitrine tous les regards, bien sûr les hommes, mais aussi les femmes qui me jettent des regards haineux. Comme pour les culottes, tôt ou tard je sais que tu me feras sauter définitivement le pas.
Depuis que je te connais, mes nichons ont perdu un peu de leur belle arrogance juvénile et moi de ma candeur idiote. Les aréoles sont plus larges, ils ont pris de l'ampleur et pas qu'un peu, grâce aux gélules roses et blanches que je prends tous les jours sur les conseils de ton amie Sylvie. Un médicament qui vient des USA à ce quelle m'a dit, à base de plantes et d'œstrogènes, ou quelque chose comme ça je crois. En l'espace d'à peine un mois j'ai pris près de cinq centimètres de tour de poitrine. C'est incroyable ! Ils sont plus volumineux, plus fermes mais aussi plus douloureux. C'est normal m'avait prévenu Sylvie.
Ils me plaisent plus, j'ai vraiment changé de silhouette. Le revers de la médaille c'est que je n'ai plus rien à me mettre. Je peux jeter tous mes anciens soutiens-gorge d'ados. Cela tombe bien ! Ils sont presque tous trop petits et me compriment terriblement. Du même coup, mes vêtements me moulent terriblement Tu m'as dit qu'ils te plaisaient de plus en plus mes gros nichons et dans quelques mois ils seront parfaits. Je suis fière et très heureuse que tu me dises ça, moi qui doutais et avais honte de ma poitrine avant de te connaître.
Le 110 C que tu m'as promis pour plus tard avec la pose d'implants en silicone ne fait plus vraiment peur. Tu m'as dit que ce genre d'opération coûte assez cher mais tu m'as dit que tu pourrais m'aider. J'attends maintenant la métamorphose avec impatience.
J'enfile les mules plateau vernies noires à talons hauts qui m'attendent à côté du pèse-personne. Même si elles sont beaucoup plus hautes que les sandales que je viens de quitter, j'apprécie pour l'instant la fraîcheur de la matière. Les onze centimètres de talons m'obligent à me cambrer un maximum et font saillir mon cul et mes nichons. Même si la posture peut paraître au début contraignante et l'équilibre précaire pour celles qui n'ont pas l'habitude, être cambré sur une dizaine de centimètres est loin d'être désagréable bien au contraire.
Ce genre de chaussures extravagantes, ce n'étaient pas du tout mon genre et je m'étonne moi-même quand me demande d'en porter chez elle d'y prendre goût. Essayez, vous comprendrez ! Dans le miroir, je peux voir au ras de la tablette ma fentine intégralement épilée et mes lèvres qui sortent un peu. Machinalement, je passe la main dessus pour juger de la netteté de ma dernière épilation. Mon barbu ne pique pas, ça va !
Puis, je vérifie mon maquillage, souligne d'un contour marron foncé mes lèvres et remet du rouge qui me fait la bouche putain comme tu aimes. Dans le tiroir de droite, je prends le collier que tu m'as offert pour mon anniversaire. Je le passe à mon cou, l'ajuste au plus serré. Il est beau et me va bien. Le geste pourrait être banal, pour n'importe quelle jeune fille de dix-neuf ans seulement toi Marie, pour mon anniversaire c'est un collier de chien que tu m'as offert.
Oui, un véritable collier de chien qui sent bon le cuir neuf, large de quatre centimètres, doublé peau, muni d'un anneau chromé auquel pend une petite plaque ronde où est gravé mon nom de soumise : ORANE et une date 17 avril 1998. Cela va faire bientôt deux mois que je t'ai juré obéissance et soumission.
À l'anneau, j'y fixe le mousqueton de ma laisse. Car pour toi, je ne suis qu'une jeune femelle indisciplinée juste bonne à être dressée et à baiser. Depuis le début du Jeu, j'en accepte le principe et ses conséquences. Le contact du métal froid sur ma peau me fait frissonner et fait se dresser mes tétons. Ma peau blanche, fait ressortir l'éclat du métal chromé. La laisse est constituée d'un long morceau de chaîne à maille plate, assez lourde, terminée par une dragonne en cuir. Elle pend maintenant entre mes seins.
Maintenant les gants, en satin noir, me couvrent presque jusqu'aux aisselles. J'aime beaucoup cet accessoire, un peu désuet, bien qu'il souligne comme si besoin été, la nudité de mon corps.
ORANE est enfin prête, un dernier coup d'œil dans la glace. Une dernière retouche. Ah j'allais oublier. Je passe à mon poignet droit une menotte. Une fois refermée sur mon poignet impossible de l'ouvrir car toi seule en a la clé. Maintenant je suis enfin prête, j'éteins la lumière et ferme la porte.
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